Pour son premier roman, Hatem Oueslati avait une idée de l’image qui devait accompagner son livre.

Il confie donc à l’agence Chimère la tache de la création de sa vision. En découle une recherche de la photographie de base répondant aux besoins, puis vînt un travail de retouche pour obtenir le sujet souhaité, et enfin le montage d’artifice pour arriver à la photo finale.

L’étape définitive fut alors la mise en page de la première et de la dernière de couverture.